RP Whusky et Akuma

Styx savait très bien ou il les menait, il espérait juste y arriver malgré sa blessure. Les ours le talonnaient de près il sentait leur souffle sur son arrière train presque, l'un d'eux mordit, lui arrachant une touffe de poil, il accéléra, direction la faille. Les ours seraient bien trop lourd pour sauter, et entrainer par leur poids et leur vitesse ils chuterais. Le jeune Husky ferma quelques petite seconde les yeux, espérant vraiment que lui même ne tomberais pas. Il vit la faille de loin et accéléra encore, haletant, sa patte le faisait souffrir, il contracta tout ses muscle, prêt a sauter. Il bondit, s'appuyant sur le rebord pour se propulser, mais un ours lui attrapa la patte dans sa chute, Styx eu tout juste le temps de planter ses griffe dans la glace, l'ours tenta de remonter, plantant ses griffe dans ses cuisse, ses côtes ou la glaces, mais il chuta, coup de chance. Styx remonta, se trainant plus sur le sol qu'autre chose, il chercha la fin de la failles mais la tempête se levait, et pas une petite, si il ne rentrer pas vite fais il serais fichu, et Bailey serait bloquer dans la grotte par la neige. Au bouts de longue et douloureuse minutes il s'écroula, ne voyant pas exactement ou il en était, il hurla, espérant être assez prés pour être entendu de Bailey.

Bailey s'efforça de rester, tournant sur lui même, comme une bête en cage, ne tenant pas en place.
Le temps lui parut long, trop long, il sortit alors, ne tenant plus.
Scrutant l'horizon, a la recherche d'une quelconque trace de Styx. Voyant la tempête se levée, il s'inquiéta, et commença a marcher dans la direction où était partit Styx.
Au bout d'un certain moment il entendit Styx aboyer et hurler.
Il courut alors dans sa direction, le plus vite possible.
Quand il le vit il fit un sursaut. Sentant que la tempête continuait a se lever et à souffler de plus en plus fort.
Il s'approcha de lui, et émit un petit couinement. Il glissa sa tête sou lui, puis le fit glisser sur son dos. Bien cramper sur ses pattes, il commença à avancer, difficilement a cause de la tempête, plissant les yeux.
La tempête était si forte que mal grès toute sa volonté, Bailey eut beaucoup de mal a allé jusqu'à la grotte. Une fois arrivée, il posa Styx sur le sol, et repartit dehors, le laissant seul un moment.

Styx couina en le voyant sortir, mais il n'arrivait pas a se lever pour le rejoindre, il se roula en boule douloureusement, gémissant, couinant, il s'inquiétait pour lui, il aboya, hurla, voulant qu'il revienne. Il laissa retomber lourdement sa tête, le sang coulant de ses mâchoires, il ferma les yeux. Plus les minutes passaient, plus il avait froid, ses plaies l'avais considérablement affaiblis et avait diminué sa résistance au froid, il se mit a trembler, ce qui le fit un peu plus saigner.

Bailey chercha désespérément un reste de carcasse.
Coup de chance, il trouva un oiseaux probablement mort gelé. Il le pris dans sa gueule, et revint péniblement dans la grotte.
Il pose l'oiseau mort près de Styx, puis voulu se coucher près de lui.
Il trébucha un peu, mais ne laissa pas paraitre sa fatigue.
Il se mit contre Styx, s'enroulant autour de lui pour le réchauffer, puis s'attela a la tache de panser ses blessures saignantes, en les léchant, et en se levant de temps a autre pour mettre un peu de neige sur celles-ci.

Styx ouvrit les yeux, se serrant faiblement contre lui, il sentait sa fatigue, il était pas con non plus.

- .. Repose toi... ça vas t'inquiète pas....

Il lui lécha le museau tout doucement, se calant un peu plus contre lui, faible.

- Tu m'as... foutus la frousse... quand t'es partit....

Bailey se resserra un peu plus contre lui, et continua a penser ses plaies.

- Excuse moi, mais il fallait que je te trouve a manger, d'ailleurs, manges, ça te feras du bien.

Il continua de le lécher, puis frotta sa tête contre son pelage, les larmes aux yeux, sachant que Styx était faible.

-Ne... Ne meurs pas Styx...

Il renifla un peu.

- J'y compte... pas...

Le husky serra les crocs en tendant le museau vers le volatile, mais il réussit a le chopper et mordit dedans, il en arracha un bout de le tendis a Bailey, il voulait partager, hors de question de manger seul maintenant qu'il était deux.

Bailey mangea un peu, puis frotta sa tête contre Styx.
Il piquait un peu du nez, épuisé par ses aller et retour a travers la tempête. Il posa sa tête sur ses pattes, regardant Styx manger.

Styx termina rapidement le volatile qui avait plus de plume que de chaire sur les os. Il se coucha contre Bailey, il avait peur, peur de ne pas se réveiller le jour suivant, ni les jours d'après, ais il ne lui dirais pas, préférant garder ses crainte pour lui. Le jeune husky respirait faiblement, ne bougeant plus une fois bien calé.

Bailey se resserra un peu, lui procurant le maximum de chaleur pour la nuit.
Il soupira, et tenta de dormir un peu, bien que le sommeil ne lui vint pas facilement, mal grès qu'il soit exténué.

Styx se sentait bien près de lui, même si il ,ne le connaissait que depuis peu.
La tempête s'était terminé lorsque le soleil se leva, filtrant a travers la glace, le jeune husky ne broncha pas, les yeux toujours fermer, la respiration a peine perceptible.

Bailey dormait encore profondément.
Quand le soleil vint lui éclairer la tête, il ouvrit un oeil, et observa les lieux avec celui-ci.
Il eut sur le coup, l'impression que tout n'avait été qu'un mauvais rêve, mais quand il vit Styx a coté de lui, la respiration faible, il se rappela que tout était bien vrai. Il secoua sa tête, puis la reposa sur ses pattes.

Styx ne bronchait toujours pas, sa respiration diminua, devenant imperceptible, même pour un chien. Le jeune husky ne saignait plus car le sang avait gelé, du moins en surface, mais pas a l'intérieur, s'accumulant peu a peu.

Bailey regarda quelques instant styx, puis détourna la tête.
Puis tout a coup, il la releva violemment.
Il ne voyait plus Styx respirer, ni le sentait. Il observa le sang qui ne coulait plus. Il paniqua, et ne trouva d'autre chose a faire que de lécher le sang geler, pour tenter de le réveiller.

Styx ne bougea pas sur le coup, pendant de longue minute, il ouvrit d'un coup les yeux, couinant, toussant, comme si il avait manquer d'aire, sa peur avait bien faillit être vrais. Malgré la douleur il se redressa pour ensuite se blottir contre Bailey, tremblant, il avait eu la frousse, il lui lécha le museau, se doutant qu'il lui avait fait peur aussi et voulait s'excuser.

Bailey sursauta ouvrant grand les yeux.
Puis il passa une de ses pattes rassurante autour de Styx.
Il mit sa tête contre lui, ferma les yeux quelque instants, puis lui lecha le museau, pour le rassurer.

Styx leva la tête vers lui puis se décolla essayant de marcher un peu, mais il s'écroula, haletant, la plaie a sa patte s'était infectée, il coucha les oreilles, fixant Bailey, inquiet, comment ils allaient faire si il s'était chopper une merde, ou qu'il avait de la fière ou autre ?! Il reposa la tête au sol, s'en voulant de ne pas avoir fais gaffe, maintenant il en subissait le prix, bientôt les autres plaie s'infecteraient, il ne pourra plus du tout bouger.

Bailey se jeta auprès de Styx, lui léchant doucement la tête.
Il réfléchit un moment, fermant les yeux.
Il les rouvrit, et regarda Styx un moment. Il s'approcha de lui, lui lécha la truffe

- Je reviens le plus vite possible, je te le promets.

Il lui fit un câlin, puis courut a l'extérieur de la grotte, ayant une idée vague en tête.

Styx s'affola, il voulus le suivre, mais il n'arrivait même pas a poser une patte par terre, il couina, gémit, jappa, pourquoi, pourquoi est-ce qu'il partait.

- ... Bailey... Pourquoi...

Le jeune husky tenta a nouveau il ne put qu'avancer de quelques petit centimètres, il retomba a nouveau, haletant, il avait chaud, il avait froid, il tremblait de la truffe aux pattes.

Bailey chercha a nouveau un reste de l'ancien campement.
Il trouva un peu enfouis sous la neige les tentes, puis se mis en quête d'une bouteille de désinfectant, dont il connaissait par cœur la forme et la couleur.
L'excitation et la peur ne l'aida pas a trouver ce qu'il cherchait frénétiquement, il faillit abandonner quand enfin il trouva la fameuse bouteille... Enfin, le petit traineau dans lequel elle était.
Ne voulant pas perdre de temps, il pris la corde dans sa gueule, et tira de toute ses force, sortant le traineau de sa prison de neige. Il tira et courut ensuite le plus vite et le plus fort possible, pour le ramener jusqu'à la grotte.
Il y arriva quasiment sans peine, aboyant pour signaler son retour.
Une fois dans la grotte, il gratta, donna des coups de dents, s'écxita frénétiquement les boites, les ouvrant une par une, pour trouver la précieuse petite bouteille.

Styx dressa les oreilles, mais ne bougea pas, il n'avais pas assez de force, il couina un peu, tremblant toujours autant, il coucha les oreilles, il avait mal, et toujours aussi froid, toujours aussi chaud, pourquoi ? Il ferma les yeux quelques secondes, essayant de se rappeler, oui, son maitre avait eu la même chose une fois, ils avaient appeler ça de la fièvre, il rouvrit les yeux, justement il l'avais évacuer car a cause d'une blessure mal soigné, il avait eu de la fièvre et les conditions de ce lieu était mauvaise, trop mauvaise, et encore, eux était a l'abri dans leur camp, lui, il était dans une grotte de glace, ça ne marcherais pas, il tenta de bouger, pour le voir, essayant d'apercevoir Bailey, les yeux mi-clos.

Bailey mit finalement la patte dessus.
Il pris délicatement la bouteille entre ses crocs, puis la déposa doucement près de styx, pour l'instant, il préférait être un peu près de lui.
Il se mit a coté de lui, lui léchant le bout du nez pour lui montrer qu'il était là.

Styx frémit, haletant, il essaya de tourner la tête vers lui, faiblement, il respirait moins bien. Il ne voulais pas mourir, il voulait rester près de lui, rien de plus. Il força sur ses muscle pour lever la tête, et frotter sa truffe contre la sienne, le fixant dans les yeux, les sien se ternissant un peu. Il aurait bien aimait parler, mais il n'y arrivait pas, il n'arrivait a rien, sa tête retomba lourdement sur le sol.

Bailey couina, puis continua a lui lécher le museau.
Il désespéra, comprenant bien que tout ses efforts serait vin.
La seule solution qui lui resta en tête était de hurler, dans l'espoir que quelqu'un les entendent.
Il hurla alors de toutes ses forces, le plus fort possible. Son hurlement se fit entendre a plusieurs kilomètres a la ronde... Assez pour que des humains, venus pour voir l'étendu des dégâts l'entendent...

Styx ne l'entendit que faiblement, alors qu'il était juste a côté, il ne sentait même plus son corps, curieuse sensation que celle-ci...


Loin de là, un groupe d'humain leva la tête, ils avaient attendu la fin de la tempête pour accoster puis avait trouver le camp dévaster, il ne rester presque plus rien sous ses monticule de neige, ils en étaient encore a se demander si des chiens avaient survécut. L'un d'eux se baissa a hauteur de l'entrer de la grotte une fois qu'ils l'aperçurent, il remarqua donc les deux chiens dont l'un était vraiment très faible, voir mourant, il réfléchit, puis attira le noir, tout en lui faisant comprendre de tirer son ami avec lui, ceci fait, il le prit dans ses bras, un autre porta le noir, il devait déjà être assez fatiguer vu les trace de traineau et de patte qui les avait mener ici. Un troisième homme prit le traineau et les médicament, ils rentrèrent au bateau, direction la première ville a des kilomètre de là. Ils installèrent les chiens dans une cabine avec des couverture et s'occupèrent du roux en premier, tirant la gueule devant les blessures.

- Hum, je crois biens que ça s'est infecté tout ça, espérons qu'on ne doivent pas lui couper la patte, ça serais dommage, un si beau chien...

Le jeune homme tourna la tête vers le noir, tendit la main vers lui, le caressant tout doucement.

- Bon chien, tu a veiller sur lui tout ce temps... ah la la, je sais pas ce qui vous lies, mais il a l'air de s'accrocher pour quelque chose ce p'tit bonhomme..

Il sourit, même si il était sur que les chiens ne le comprenne pas, il aimait leur parler, les autres l'avaient laissé s'en occuper.
Styx les voyait comme a travers du brouillard, mais il fixait surtout Bailey, il ne voulait pas partir, il voulait rester avec lui, a vie.